S'il est une unanimité, c'est bien sur l'absolue nécessité de changer ce qui peut l'être et d'y mettre de la bonne volonté. Au-delà des déclarations d'intention, comment en est-on arrivé là ? Et surtout, comment en sortir ?
Invectives, quolibets, moqueries agrémentent ça et là les débats du conseil, qui souvent, quittent le terrain des idées pour celui de la posture politique. Des discussions publiques et publiées, qui par le leur longueur, 10 heures pour le dernier conseil de février, ne risquent pas de réconcilier le citoyen avec la politique.
Parmi les chefs de groupes, tous déplorent la piètre qualité que peuvent prendre parfois les débats et sa conséquence directe : la longueur des discussions.
Les chefs de groupe se verront d'ici la fin de la semaine. A l'avenir, les séances seront-elles plus courtes ? Difficile de répondre à cette question.La majorité a quant à elle promis que, faute de gentlemen's agreement, elle prendrait les décisions qui s'imposent.
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