Elio Di Rupo, un an d'Europe

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Entre Strasbourg et Bruxelles, les deux pôles de l’autorité européenne, c’est là désormais qu’Elio Di Rupo exerce sa vie politique.

 
 Le montois reste bien sur attaché à sa ville mais ses préoccupations ont pris de l’ampleur. C’est que l’Europe, bien qu’omniprésente dans la vie des citoyens, reste le niveau de pouvoir le plus éloigné et il s’agit de faire preuve de pédagogie pour démontrer son importance dans le quotidien des européens.
 
La commission européenne, le gouvernement en quelque sorte, est en place depuis un an pile et vient de vivre des heures chahutées. Sa présidente, Ursula Von Der Leyen, a fait l’objet d’une motion de censure déposée par l’extrême droite. Une motion qui, si elle avait reçu le soutien d’autres groupes, aurait entraîné la destitution de la commission toute entière. Pour Elio Di Rupo, même si les reproches formulés étaient légitimes, soutenir l’extrême droite n’est pas envisageable.
 
Les conflits ne sont pas à réserver aux livres d’Histoire. Les guerres menacent et la question de l’armement se pose dans tous les budgets nationaux ou européens, pour garantir la sécurité de tous les citoyens.
 
Il s’agit dès lors d’examiner sans précipitation les candidatures des pays qui souhaiteraient rejoindre l’union, pour que l’appareil européen n’atteigne pas une dimension qui le rendrait ingouvernable.
 
 
 
 
 
 

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