C'est un rôle qu'il assumera pour la deuxième fois de sa carrière puisqu'il était déjà bâtonnier entre 2021 et 2023. Si accéder à se poste représente une réelle reconnaissance pour un avocat cette fois-ci Bernard Popyn ne l'a pas réellement choisi.
C’est le rituel tous les matins, maître Popyn se rend au palais de justice récupérer son courrier dans le vestiaire des avocats. Une pièce particulière qui contient les photos de tous les bâtonniers du barreau de Mons depuis plus d’un siècle. Cette année, il rejoint cette lignée pour la deuxième fois. Il reprend donc les rênes du barreau de Mons par nécessité pendant 1 an, le temps de faire la jonction avec son successeur maître Stéphane Brux, l’actuel vice-bâtonnier.
Un relais entre les clients et les avocats, mais aussi entre les avocats et les instances politiques. Ce rôle lui permet aussi de porter la voix de ses confrères auprès des ministres. Une priorité aujourd’hui compte tenu de l’état critique du domaine de la justice. Les responsabilités sont donc nombreuses pour un bâtonnier. Accepter ces obligations c’est un peu comme effectuer un mi-temps en plus de son travail d’avocat. D’autant plus que cette fonction est bénévole.
L'année qui l'attend est bien chargée, avec notamment plusieurs projets que Bernard Popyn souhaite porter en tant que bâtonnier. Par exemple, créer des synergies entre la bibliothèque des avocats et l’école de droit de l’Umons, ou encore intégrer l’intelligence artificielle au métier d’avocat.
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