Le décret paysage est revenu au Parlement de la Fédération Wallonie Bruxelles cet après-midi.L’enjeu, trouver un traitement adapté pour ces étudiants, présents à Mons, qui ont subi la crise sanitaire et qui ne seraient plus finançables dès septembre.
C’est avec une mise en scène originale, celle d’un enterrement, cercueil et roses rouges à la main qu’une quarantaine d’étudiants Montois ont poussé un dernier coup de pression contre la réforme du décret paysage.
Avec cette réforme, les étudiants seront obligés de valider l’ensemble de leurs cours pour pouvoir passer à l'année suivante. Autre durcissement, il leur sera impossible de passer plus de deux ans en première année. Une situation qu'ils jugent inégale et anxiogène.
Si les Socialistes et écologistes proposent l’introduction d’un moratoire visant à préserver la finançabilité de l’ensemble des étudiants en septembre prochain, cela reste insuffisant pour ces derniers.
À l'approche des élections, ces étudiants tentent le tout pour le tout afin de faire entendre leurs revendications à travers ce message symbolique.
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