En octobre dernier, le groupe Epicura voyait son label “Smiley“ reconduit. C'est en 2020 que le groupe avait obtenu pour la première fois ce label qui atteste que l'entreprise active dans la chaîne alimentaire qui le détient a mis en place un système d’autocontrôle crédible et certifié. Romain Renier et Frédéric Paspont ont donc passé une matinée en immersion dans les cuisines de l'hôpital pour suivre la préparation des repas, depuis les cuisines, jusqu'aux chambres des patients.
Comme tous les jours, Xavier et son équipe sont en route depuis 6 h pour préparer les repas. Au menu du jour, chicon au gratin, l'équipe se met donc en place pour le service du midi, puisqu'ici, à Épicura, tout ou presque est fait maison !
700 repas sont donc préparés chaque jour dans les cuisines de l’hôpital. Épicura est l'un des rares hôpitaux de la région à ne pas se fournir auprès d'un fournisseur intermédiaire. Il revient donc aux différents services de se concerter pour assurer la diversité des différents menus.
Dériver les plats en fonction des pathologies, des régimes, ou des convictions personnelles puisque tous les patients n'ont pas les mêmes besoins. Le service Catering collabore donc avec le service diététique pour définir les besoins spécifiques de chaque patient.
Et pour préparer ces plats, l'hôpital a dû recruter, ici dans les cuisines, on compte 60 temps plein. De l'embauche locale, car l’hôpital privilégie les demandeurs d'emploi de la région.
11 h 30, et après de nombreuses heures de préparation, l'heure du repas est enfin arrivée pour les patients de l'hôpital.
Et même si la nourriture est souvent décriée au sein des hôpitaux, ici à Épicura, ces préparations maisons sont toujours attendues par les patients quand sonne l'heure du repas.
Sur le même sujet
Recommandations
Image
Genly - Leslie ou la passion du chocolat
A une quinzaine de jours de Pâques, les chocolatiers sont en plein travail. Exemple à Genly où Leslie D'Andréa a ouvert son commerce en septembre, en activité complémentaire. Le défi est de taille puisqu'il faut se démarquer face à la concurrence et à l'augmentation du prix de la matière première.
Image
Rallumer l'éclairage la nuit ? Les Bourgmestres borains sont divisés !
C'est une question que de nombreux bourgmestres se posent actuellement : Faut-il rallumer l'éclairage public la nuit ? Suite à la hausse des prix de l'énergie, la plupart des communes de notre région avaient en effet décidé de le couper avec à la clé certaines économies. Mais pour l'heure dans le Borinage, les avis sont plutôt partagés.
