Le CAP présente sa nouvelle exposition immersive : « Pulsations. Visages d’une cité ». Accessible dès ce 12 avril, elle agence le travail d’une quarantaine d’artistes originaires principalement de la région avec comme inspiration centrale la Cité de Mons.
Accompagné d’une musique basée sur les pulsations du cœur, c’est sur les portraits du photographe Nobert Ghisoland, né à Frameries, que l’exposition commence. Un artiste dont le CAP (Culture Art Patrimoine), le pôle muséal de Mons, n’a pu se passer.
Une immersion qui invite le visiteur à vivre l’exposition non pas par son esprit, mais au travers de tout son être. Et pour y arriver, les équipes du CAP se sont prises au jeu.
L’exposition temporaire rassemble l’essence d’une quarantaine d’artistes majoritairement issus de la région de Mons. Leurs travaux sont répartis entre différentes salles du CAP avec chacune son propre thème comme la place de l’eau, du sacré et du spirituel dans nos sociétés modernes, et plus précisément Mons ou encore l’importance de la mémoire. Un agencement qui n’était pas possible sans réel défi.
On y retrouve aussi des œuvres spécialement conçues pour l’exposition comme celle de Pierre Liebeart, un photographe né à Mons qui juxtapose deux vues d’un même endroit, mais à des temps différents. Soulignant l’aspect vivant de la cité du Doudou.
« Pulsations. Visages d’une cité » est donc une expérience plurielle qui esquissent un visage sensible et intime de la Cité de Mons avec un accent sur l’art contemporain car deux autres expositions complémentaires s’ajoutent en même temps au projet dans deux salles du CAP. La première : "Mainteneur" de Diego D’Onofrio, lauréat du Prix du Hainaut des Arts Plastiques de 2023, qui propose un dialogue avec l’espace qui nous entoure. En deuxième, "Utopies – Vivre ensemble" de l’Institut Culturel d’Architecture de Wallonie-Bruxelles qui invite à prêter attention aux proximités et aux entourages quotidiens du voisinage.
Note : L'exposition est disponible jusqu'au 17 août 2025.
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