Depuis plusieurs semaines, des infections à la bactérie STEC ont été déclarées en flandre et en Wallonie. Pour le moment, aucun cas n'a été déclaré dans la région, mais les institutions prennent leurs précautions.
De l’américain-frite au menu, c’est quelque chose qu’on ne verra plus avant un petit moment dans les homes. Depuis que la bactérie STEC est apparue dans plusieurs maisons de repos en Flandre et une à Ottignies, les institutions de la région jouent la carte de la prudence. Notamment à l’Arbre de vie à Quaregnon. Vigilance est donc le maître mot. La bactérie STEC est une variante de l'Escherichia coli qui produit des shigatoxines. Les symptômes sont comparables à une gastro-entérite, mais, chez les individus plus faibles, elle peut entraîner des complications plus importantes. Il faut donc prendre un maximum de précautions.
Pour le moment, l’heure est à la prévention. Lors de la séance plénière du 3 septembre dernier, le ministre wallon de la Santé, Yves Coppieters s’est voulu rassurant. Les chaînes de transmission ont été brisées et l’enquête de l’AFSCA suit son cours. Même son de cloche du côté de l’Agence pour une vie de qualité. Ces pics de maladies sont connus et surviennent chaque année. Pour le moment, les homes touchés font partie du même groupe, à savoir Armonea. Il y a donc peu, risque que la situation s’aggrave dans la région.
L’AVIQ continue bien entendu à suivre la progression de la bactérie avec attention. L’AFSCA, quant à elle, tente de cartographier la chaîne alimentaire. L’objectif, c’est d'identifier les fournisseurs communs aux établissements concernés et trouver l’origine de la contamination.
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