Quelques mois après le commencement du premier conflit mondial,
la mémoire des victimes est commémorée, des artistes et des architectes sont
ainsi engagés par les communes pour ériger des monuments aux morts
sur les places publiques et lieux de sépultures.
Une tombe désafectée dans le cimetière de Ghlin évoque un artiste oublié de tous,
Juan Bury qui s'est lancé dans l'art statuaire dès 1915.